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Dernières nouvelles

Exposition et soutenances publiques des travaux de fin d’études2 au 6 juin 2025à l’École de la nature et du paysage3 rue de la ChocolaterieBlois Lundi 2 juin14 h 30 Chambéry : Un projet socio-climatique qui fédère ses habitants à leur territoire. Valentine Beuzelin14 h 30 Les Hautes-Vosges face au changement climatique : le tourisme d’hyper-localité, support de résilience. Justine Lambrechts16 h 30 Interface Ville-Port du Havre, réouvrir le port à la ville par la redécouverte de son patrimoine. Pierre Fouesil16 h 30 Les Sanguinaires : accompagner les paysages d’entre-horizons face aux risques naturels. Jade KrantzMardi 3 juin9 h 30 Vivre et habiter l’hydrographie à la pointe de la boucle de Seine en aval de Paris. Khalilou Demba9 h 30 Révéler le territoire de la basse vallée du Var face à l’urbanisation croissante de Nice ouest. Kumari Daniel11 h 30 Rivière vive, rivière sacrée : vers une coexistence apaisée à Katmandou. Charles Lefèvre11 h 30 Marquer les pratiques de la plaine torrentielle par les rythmes de l’Arve – De l’exploitation vers le parc de grave. Léa Amadu11 h 30 Equilibre entre milieux humides et préservation par le pastoralisme de la dernière plaine steppique d’Europe. Hugo Jeegers14 h 30 Delta de l’Aa : retrouver un paysage de l’eau face aux bouleversements climatiques et économiques. Harry Viewing14 h 30 Revaloriser le patrimoine industriel du territoire carolorégien autour de la vallée de la Sambre. Fiona Metoudi14 h 30 Thiers : des gorges à la plaine, faire ville le long de la Durolle. Justine Colin-Colnet16 h 30 Entre deux eaux, le recul du trait de côte comme levier de nouvelles cohabitations sur les marais de Rochefort. Simon Rouillier16 h 30 L’aéroport de Pau ferme ! Une transformation qui revalorise la Plaine du Pont Long. Aude MajorelMercredi 4 juin9 h 30 La reconversion du Centre Hospitalier Tarbes-Lourdes dans un contexte périurbain à fort potentiel. Aurélie Bergès-Ragoche11 h 30 Les nouveaux marchés de Carpentras, repenser un territoire pour nourrir ses habitants. Agnès Hingand11 h 30 Paysage, foi et écologie : projet de transition pour les terres agricoles de l’abbaye de Melleray. David Sinet11 h 30 Les délaissés de Romorantin, un récit collectif des quartiers comme vecteur de transition des modes d’habiter. Lucie Aigret14 h 30 La ville et le fleuve réconciliés : une nouvelle interface entre le Rhône et Avignon. Thomas Courtin14 h 30 Vallée de la Fillière : réunir les modes de vie autour de la transition agricole en montagne. Alix Pinel14 h 30 Sur les balcons sud de la Chartreuse, renouer avec un ruisseau ordinaire. Eliane Debray16 h 30 Etretat : adapter les modes de consommation touristique pour les reconnecter au territoire. Alizée Leterc16 h 30 U ritornu versu a Castagniccia (Un retour vers la Castagniccia). Orane Sergent16 h 30 Des coulisses à la ville, définir les seuils de l’habitabilité à Saint-Pierre-des-Corps. Sarah O’ConnellJeudi 5 juin 9 h 30 A Marseille, la fabrique de communs, comme une alternative à la fermeture de la ville et de ses quartiers. Paul Grollier9 h 30 La zone commerciale des Cent Arpents : de l’impression de la non-histoire à l’histoire à vivre. Sarah Trimouillet11 h 30 La poudrerie d’Angoulême – Vers un parc industriel intégré à son environnement, support d’une vie nouvelle. Clément Delmas14 h 30 S’adapter à la montée des eaux et aux épisodes pluvieux dans un territoire de polders- Bruges et son littoral. Marie Tirmarche14 h 30 Cherbourg et la montagne du Roule : l’exploitation de la carrière comme amorce au parc patrimonial. Antoine Lamare16 h 30 Tisser de nouvelles campagnes pour le Pays du Plain face au changement climatique. Laetitia OrangeÀ l’issue des soutenances, les travaux des élèves seront exposés dans la ChocolaterieVendredi 6 juin, nous accueillerons quatre personnalités qui croiseront leurs regards sur plusieurs TFE : Sylvie Barraud, Professeure en hydrologie urbaine à l’INSA de LyonJacques Courilleau, Paysagiste-concepteur, membre de la Commission Supérieure des Sites, Perpectives et PaysagesCathy Savourey, Maire adjointe de Tours déléguée à l’urbanisme, présidente de l’agence d’urbanisme de l’agglomération tourangelle (Atu 37)Philippe Simay, Philosophe des sciences sociales, de l’art, de l’architecture et de l’urbain, Maître de conférence à Paris Belleville. Co-fondateur de xn--mtropolitiques-bkb.eu/ A 16h30, nous leur proposerons de restituer en public,leur vision de la formation dispensée à l’École et de ses enjeux.(Dessin Orane Sergent) See MoreSee Less
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Dans le cadre des Expositions de la Chocolaterie, l’École de la nature et du paysage (INSA Centre Val de Loire) accueillera, du 4 au 27 juin 2025, le travail de Paul de Pignol :J’écoute la respiration silencieuse du vent dans les arbres,l’atelier de Paul de PignolLe travail de Paul de Pignol sera présenté lors d’un vernissage/performance, jeudi 5 juin à 18h30, au cours duquel il sera accompagné musicalement et en lecture de Stéphanie Faget lors d’une présentation coorganisée par l’École et les associations étudiantes La Vitrine Itinérante et Café’Choc, et qui se poursuivra en musique.Extraits de la présentation de l’exposition :Pendant plus de vingt ans j’ai sculpté des figures féminines, échos contemporains des Vénus préhistoriques, ancrées dans une verticalité, comme des arbres. À travers ces colonnes de chair, j’ai exploré la question du corps comme principe fondamental du vivant. […] J’ai fait en sorte que mes sculptures posent la question de la transformation, de l’érosion et de la disparition. […]Aujourd’hui, cette quête s’est déplacée, à travers des tableaux et des sculptures, vers la forêt. Elle aussi est un organisme vivant, une matrice du monde, un territoire en perpétuelle métamorphose où la croissance et la décomposition sont indissociables. […]Chaque tableau est un processus de construction et de destruction. J’efface, je recouvre, j’accumule, je sédimente de la matière ou je l’annule en recouvrant la surface de la toile de blanc, pour tout recommencer.À travers ces gestes, je tente de saisir ce qui persiste, ce qui résiste, ce qui se transforme. Mes toiles sont des surfaces vivantes, des strates d’effacement et de réapparition.Exposition ouverte aux horaires d’ouverture de l’École de 7h30 à 18h00 du lundi au samedi – rue de la Chocolaterie – Blois See MoreSee Less
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[PALMARES DU PAYSAGE 2025] Le jury a délibéré et cette année encore, deux étudiants de l’École figurent parmi les 4 finalistes !Découvrez les 4 finalistes retenus pour le Prix Diplôme :– Antonin Renard de l’École de la nature et du paysage – INSA Centre val de Loire, pour le projet « Après l’incendie, accompagner la résurgence de la forêt usagère testerine »– Valentine Bonnefond de l’École de la nature et du paysage – INSA Centre val de Loire, pour le projet « Après le chlordécone, prendre soin des mémoires de Capesterre-Belle-Eau, du jardin créole au projet de paysage »– Eve Jeannerot de l’ENSAP Bordeaux pour le projet « Quand la montagne ne sera plus blanche – Parcours entre transition et tradition au cœur du Massif du Mont d’Or »– Marie Ghilbert de l’ENSAP Bordeaux pour le projet « Les paysages agricoles de l’Astarac : s’inspirer des paroles d’agriculteurs pour dessiner des paysages, fertiles, vivants et résilients »🌿Des sommets du #montdor aux plaines agricoles du #gers, des terres contaminées de #guadeloupe aux forêts calcinées de #latestedebuch, ces projets de paysage interrogent un monde en pleine mutation.🔥Face au changement climatique, aux transformations agricoles, à la contamination des sols et aux risques d’incendie, les quatre projets finalistes du Prix Diplôme esquissent des territoires plus soutenables et résilients, portés par une démarche paysagère sensible et engagée.La remise des prix se déroulera le 20 juin 2025 à l’École nationale supérieure de paysage de Versailles ! See MoreSee Less
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L’ecole accueille pendant deux jours les épreuves d’admission du concours d’entrée en première année. Photos de l’épreuve de dessin de changement d’échelle dans le hall de l’ecole. See MoreSee Less
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Acoustique et représentation en troisième annéeUn petit cours d’eau prend naissance dans un lac, puis disparaît sous terre.On ne le voit plus, mais on l’entend parfois entre deux pavés, au creux d’un talus, dans un murmure au coin d’un mur. Ce filet d’eau invisible devient le fil conducteur d’une marche d’écoute ponctuée de pauses audio-graphiques, une traversée sensible du territoire, du lac de la Pinçonnière aux rives de la Loire en centre-ville en passant par le Parc de l’Arrou.Tout au long du chemin, on prélève un son, un souffle, une voix, un éclat de rire, un passage de moto, un bruissement d’arbre, les rumeurs de la ville, un silence.Ces éléments collectés, transformés puis extrapolés vont servir d’ingrédients pour une restitution plastique et sonore d’une ou de plusieurs stations du parcours.Le son devient dessein et le dessin résonne dans un mouvement synchrone indissociable.Réparti dans les différents espaces de l’école, l’ensemble des propositions propose une autre écoute du territoire, une carte sensible discontinue où chaque fragment porte la trace d’un moment partagé. See MoreSee Less
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Echange Erasmus suiteLe séminaire avec les étudiants de deuxième année du département paysage de la Faculté d’horticulture de Bucarest s’est terminé jeudi. Après les prises de vue mardi et la sélection des images mercredi, les étudiants ont installé l’exposition jeudi matin pour un vernissage le midi. C’était un véritable challenge pour l’ensemble de l’équipe pédagogique et pour les étudiants de toutes les promotions qui se sont mobilisés car, après la rénovation du bâtiment, ils ont pris possession des lieux à l’automne dernier, et rien n’était encore prévu pour exposer des travaux. Ils ont donc collectivement saisi l’opportunité de l’intervention de Christophe Le Toquin pour construire les premières conditions d’un lieu d’exposition au sein de l’école, et inauguré ainsi la première exposition dans ce nouveau bâtiment. Il y a donc eu trois jours d’intense excitation de toute part et une grande qualité dans le travail fourni par les étudiants qui ont adoré cet exercice. Les étudiants de première année attendent, quant à eux, déjà l’an prochain pour participer à un séminaire photo équivalent. See MoreSee Less
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Des nouvelles de notre enseignant Christophe Le Toquin, en échange Erasmus toute la semaine, au sein du département de paysage de la Faculté d’horticulture de Bucarest (Roumanie).Intégré à l’atelier de projet de deuxième année conduit par Vera Dobrescu et Alex Axinte, il a accompagné, ce matin, les étudiants à la rencontre de leur nouveau site de projet pour les cinq prochaines semaines, située au sud de Parc Bazilescu autour du Boulevard Bucurestii Noi. Les étudiants ont pu rencontrer Bogdan, paysagiste roumain engagé dans les démarches citoyennes du quartier et Julian, habitant du quartier depuis son enfance (il allait emprunter les livres de Jules Verne dans la bibliothèque publique du parc) et acteur d’une des associations citoyennes.Christophe a proposé un exercice photo sur le site qui sera présenté jeudi sous forme d’exposition, après une conférence sur la méthode des Observatoires photographiques du paysage. See MoreSee Less
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Les Cahiers de l’École de Blois

Couverture Cahier de l'école de Blois 22

N° 22
LIGNES DE FRONT

L’onde de choc des conflits en cours continue de se propager : villes bombardées, destructions en chaîne, déni d’humanité aux frontières. Ces Cahiers partent de situations marquées par la violence. La guerre, la colonisation et leurs traces y figurent, les gestes de résistance ou les lignes de fuite qui s’en écartent aussi. Mais si les institutions couvrent des atteintes répétées aux équilibres sociaux et écologiques comme aux droits humains, si des lignes de front toujours moins métaphoriques polarisent les lieux habités et les métiers chargés de leur donner forme, de l’agriculture à l’architecture, par où passe l’action inventive des paysagistes ? La pensée critique et l’ouverture contournent les discours bellicistes. Elles font valoir une diplomatie tacite et tenace, entre les lignes. De Roissy à Beyrouth, du Cantal au centre de Lyon, quatre travaux de fin d’études suggèrent que, sous certaines conditions, des projets de paysage peuvent contribuer à atténuer ou éviter des conflits – y compris par le désamorçage, le détour ou l’esquive. Ce travail se mène depuis l’intérieur du trouble de l’époque, et non en son dehors.

Ouvrage disponible en librairie le 30 mai.

Télécharger le dossier de presse.

Les Cahiers ont désormais leur propre site.

Fév 26, 2023 | Posté par | Commentaires fermés sur Accueil
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