Qu’avons-nous appris ? et Comment l’avons-nous appris ? Dans son article « L’école du futur », paru ces jours-ci dans le dernier numéro des Cahiers de l’École de Blois, Lolita Voisin propose quelques réflexions tirées de son expérience d’enseignante et de directrice d’école. Comme d’autres articles et extraits, le texte est aussi à découvrir en ligne sur le site des Cahiers : www.cahiers-ecole-de-blois.fr/l-ecole-du-futur/Et il sera présenté demain, 8 juin à partir de 18h30, au café Fluxus de la Fondation du Doute, lors du lancement mondial de ce n° 21, « Paysages futurs » ! … See MoreSee Less
« Paysages futurs », le dernier numéro des Cahiers de l’École de Blois, est disponible en librairie !Entre enquête, dessin et conception, le travail des paysagistes associe l’expérience corporelle à des relations culturelles sédimentées : il s’attache aux longues durées – de l’anamnèse à l’anticipation. Dans ce volume, le passage du temps sur les paysages emprunte des voies multiples et inattendues, sans esquiver le risque de l’obsolescence et de la ruine. La pensée du projet s’empare d’infrastructures patinées et de milieux altérés par des gestes de maintenance ou de restauration : cette critique en acte de la persistance des logiques destructrices ouvre les perspectives d’un avenir désirable.Disponible en librairie (diff. et distr. : interforum). Retrouvez, sur le site internet des Cahiers, plusieurs extraits de la publication en accès libre.« Paysages futurs », Les Cahiers de l’École de Blois, n° 21, Éditions de la Villette/INSA Centre Val de Loire, 2023. … See MoreSee Less
Programme des soutenances publiquesdes travaux de fin d’études 2023de l’INSA Centre Val de Loire – École de la nature et du paysage5 au 9 juinLundi 5 juin11 h 30 Densifier les agricultures périurbaines pour dessiner les limites d’Esvres-sur-Indre : la lisière agricole urbaine, cœur névralgique de l’hybridité du territoire. Alexandre Ducrocq11 h 30 Nant.e.s : l’île de Nantes sous le prisme de l’inclusivité pour un droit à l’expérience non genrée de la ville. Flore Maurer14 h 30 Autour du centre hospitalier du Vinatier : pour une appropriation de la ville par le soin. Marcellin Catala14 h 30 Repenser les franges urbaines de Manosque : vers un avenir différent pour l’urbanisation dans la Vallée des Energies. Théo Escande16 h 30 Saint-Quentin en Yvelines : des récits de l’utopie. Les mémoires comme socle des transformations de la ville nouvelle. Charlotte MutelMardi 6 juin9 h 30 Hent an tren karotez : tisser les possibles d’une nouvelle expérience de la campagne en Pays Bigouden. François Faguet11 h 30 Les franges orientales de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle : une destination insoupçonnée. Lucie Peigneux14 h 30 De nouveaux imaginaires dans le périurbain – Interroger la place de la nature et des sols dans un territoire rural sous pression foncière. Aurore AmbiaudMercredi 7 juin9 h 30 Comment lutter contre la banalisation de nos paysages de cœur – le cas du pays de la Zorn. L’expérience du paysagiste conteur. Romain Horny9 h 30 Paysage de l’accueil – Itinérance spatiale et partage social de l’espace public de la presqu’île lyonnaise. Félix Robin11 h 30 Vivre la zone d’activités économiques – Multiplier les usages de la zone d’activités de Lescar en développant de nouvelles formes urbaines. Guilhem Dousson11 h 30 La place de l’arbre dans le paysage beauceron : repenser le modèle agricole d’aujourd’hui face aux enjeux climatiques de demain. Camille Massias11 h 30 Échapper à la ville moyenne en suivant les chemins de l’eau pour se réapproprier la nature à Montereau-Fault-sur-Yonne. Révéler la présence de l’eau dans le tissu urbain et résister à l’artificialisation des sols. Guylaine Piketty-Leverne14 h 30 Soisson : “Faire avec.” Comment faire du projet de paysage en milieu urbain en considérant l’héritage matériel et immatériel d’un lieu comme ressources utiles au(x) projet(s) futur(s) ? Louis Kinzinger14 h 30 Quel avenir pour le littoral agonnais-coutainvillais ? Vers une station balnéaire plus résiliente pour faire face à la montée des eaux. Brandon Gressant16 h 30 Dolus-d’Oléron à l’horizon 2050 / 2070 – Quel avenir pour ce territoire insulaire face à la montée des eaux ? Ludivine Besnard16 h 30 Le Cap d’Antibes, de l’enclave au territoire servant. Comment récupérer un espace public de qualité sur un littoral aux accès et usages altérés ? Axel SonesiJeudi 8 juin :9 h 30 Quelques hypothèses pour une stabilisation des fréquentations publiques et nouveaux “sentiers de dépendances” sur les remblais de Biel : entre épaisseur urbaine et contingences historiques à Beyrouth 2023. Matéo Bouchaud11 h 30 La zone industrielle sud vendômoise, un levier d’adaptation aux enjeux de la ville de demain : un nouveau modelé de l’interface urbaine, à la rencontre du paysage beauceron. Ségolène Morin14 h 30 Narse de Nouvialle : raconter l’histoire des possibles sur la planèze de Saint-Flour. Colin Fayard16 h 30 Habiter et cultiver la presqu’île de Rhuys : entre pressions climatique, touristique et foncière, quelle cohabitation pour une résilience à l’horizon 2050 ? Nathan Rosse-GuillevicA l’issue de ces soutenances, le jury d’excellence attribuera les félicitations de l’école,vendredi 9 juin 2023 à 16h30il sera composé de :Edith CommissaireartisteSimone Douekdocumentariste sonoreNatacha Guillaumontdirectrice de la filière paysage, HEPIA, Genêve, SuissePablo Lhoasdirecteur de l’école d’architecture et de paysage de Lille(Illustration Chartlotte Mutel) … See MoreSee Less
Comme les autres établissements délivrant le DEP, notre école est centre d’examen, et accueille, pendant trois jours, des candidats aux épreuves du concours d’entrée en DEP, voie externe. Aujourd’hui, les épreuves écrites avant les épreuves orales demain. … See MoreSee Less
Dans le cadre de notre partenariat avec le Château de Chambord, nous avons accueilli mardi soir Lionel Sabatté, artiste en résidence, qui est venu présenter le travail réalisé au cours de cette résidence, replacé dans le contexte général de son parcours artistique. Ces œuvres seront visible à Chambord à partir du 14 mai. … See MoreSee Less
Pendant deux jours, nous accueillons les candidats au concours d’entrée en première année. Épreuve d’anglais sur table pour commencer la journée, suivie d’un entretien avec un jury et d’une épreuve de dessin de changement d’échelle sous le regard bienveillant des enseignants d’arts plastiques (photos). … See MoreSee Less
Pour nos amis marseillais, aujourd’hui, dans le cadre de cet évènement on parlera projet de paysage avec d’anciens élèves et un enseignant de l’école. … See MoreSee Less
Entrevoir les paysages futurs exige de ressaisir les héritages hybrides et la mémoire involontaire qui marquent notre temps instable. Entre enquête, dessin et conception, le travail des paysagistes associe l’expérience corporelle à des relations culturelles sédimentées : il s’attache aux longues durées – vde l’anamnèse à l’anticipation. Avant toute projection, décrire la complexité des trajectoires et les signes du changement. Apprécier leur part d’incertitude, éprouver les affects et les émotions qu’ils procurent. Cet effort est nécessaire à l’imagination des gestes qui transformeront les lieux habités en quittant les impasses de l’idéologie productiviste. Dans ce volume, le passage du temps sur les paysages emprunte des voies multiples et inattendues, sans esquiver le risque de l’obsolescence et de la ruine. La pensée du projet s’empare d’infrastructures patinées et de milieux altérés par des gestes de maintenance ou de restauration : cette critique en acte de la persistance des logiques destructrices ouvre les perspectives d’un avenir désirable.