Les élèves de deuxième année présentaient leur travail de réflexion et d’expérimentation sur le thème des structures, encadrés tout le semestre par leurs enseignants Paul de Pignol, sculpteur et dessinateur, et Christophe Le Toquin, photographe. Une invitée spéciale réagissait aux propositions des élèves : Marie Christine Palombit, peintre plasticienne et ancienne enseignante de l’école. … See MoreSee Less
Introduire l’animation dans une école de paysage est une façon de reconnaitre que certaines choses ne peuvent être dites avec une image fixe. Abordée comme un terrain de jeu expérimental, l’animation est alors un moyen de représenter le vivant, le mouvant, l’évolution et de mettre en récit des scénarios prospectifs, didactiques, affectifs… Cette année, les étudiants de 4eme année ont travaillé sur le thème Migrations, pris au sens large comme phénomène indispensable à la dynamique de la vie.Quelques captures fixes de ces petits films en mouvement, qui ont été projetés à l’école, en salle de conférences, devant élèves et enseignants. … See MoreSee Less
Lundi à 20h30, venez découvrir le film documentaire Ici Brazza, portant sur les travaux de transformation d’une friche à bâtir. La séance organisée par le Cinéma les Lobis / Blois et par Ciné’fil sera suivi d’un débat avec Lucie Goumain étudiante et Olivier Gaudin enseignant. … See MoreSee Less
Dans le cadre de leur enseignement "Expérimentations constructives et matérielles" avec Hector Moric, les élèves de première année ont partagé tout ce semestre leurs réflexions et leurs essais avec d’autres étudiants blésois de l’ETIC et du Lycée Camille Claudel en formation DN Made. En bord de Loire, ils inventent d’autres manières de voir, d’accéder, de toucher, se sentir, en partenariat avec Val de Loire patrimoine mondial et la Ville de Blois et grâce au savoir-faire des techniciens et des ateliers municipaux.A découvrir en bord de Loire toute la saison ! … See MoreSee Less
François Faguet, diplômé de l’école depuis peu, expose ses travaux photographiques à la galerie des Archives Départementales d’Ille et Vilaine. Bravo à lui ! … See MoreSee Less
Dans le cadre d’une série de séances interdisciplinaires, en 3e année, consacrées aux formes urbaines, lundi, les enseignements de représentation et d’histoire des villes expérimentent des croisements de regard. La journée a commencé par la rencontre avec un "morceau" de Blois, à deux pas de l’école. Après un temps de collecte in situ par la photo et le dessin, et de cours sur les éléments qui font "l’image de la ville" selon Kevin Lynch, les élèves ont travaillé en atelier sur un exercice plastique de collage et d’imagination, autour des notions de point de vue, d’inconfort et de confort visuel. … See MoreSee Less
Écoutez la discussion de la Chocolaterie de février : Conflits au sein du projet de paysageCette discussion laisse la parole à une agence de paysage dont le travail a été récompensé par les AJAP (Albums des Jeunes Architectes et Paysagistes). Mener un projet de paysage induit forcément de partager et de questionner les regards portés sur un site. À cette occasion, des dissensions émergent, qu’elles proviennent des habitant·es, des commerçant·es, des collectivités… Comment naviguer à travers ces conflits potentiels et aboutir à la réalisation d’une certaine vision ?Une discussion avec Mélanie Gasté, paysagiste fondatrice de Atelier GAMA , animée par Grégoire Bruzulier, directeur du CAUE Loir-et-Cher et organisée par les élèves et le CAUE 41, en podcast et en diffusion sur la radio associative Studio ZEF. … See MoreSee Less
Entrevoir les paysages futurs exige de ressaisir les héritages hybrides et la mémoire involontaire qui marquent notre temps instable. Entre enquête, dessin et conception, le travail des paysagistes associe l’expérience corporelle à des relations culturelles sédimentées : il s’attache aux longues durées – vde l’anamnèse à l’anticipation. Avant toute projection, décrire la complexité des trajectoires et les signes du changement. Apprécier leur part d’incertitude, éprouver les affects et les émotions qu’ils procurent. Cet effort est nécessaire à l’imagination des gestes qui transformeront les lieux habités en quittant les impasses de l’idéologie productiviste. Dans ce volume, le passage du temps sur les paysages emprunte des voies multiples et inattendues, sans esquiver le risque de l’obsolescence et de la ruine. La pensée du projet s’empare d’infrastructures patinées et de milieux altérés par des gestes de maintenance ou de restauration : cette critique en acte de la persistance des logiques destructrices ouvre les perspectives d’un avenir désirable.