Les stages sont une part importante de la pédagogie de l’école. Les élèves des quatre premières années sont actuellement pour deux mois hors les murs pour confronter leur savoir au jardin pour les CPEP, et à l’agence ou la maîtrise d’œuvre pour les DEP. Ce sont aussi des moments d’apprentissage par d’autres moyens qu’à l’école, au contact de professionnels tels que les jardiniers, botanistes, conservateurs, paysagistes libéraux, élus, techniciens des collectivités…Justin, élève de deuxième année nous donne des nouvelles de son stage en Nouvelle Zélande :"Nous effectuons notre stage à l’Otari Wilton’s Bush, une réserve nationale des espèces végétales endémiques du Novozéolandic.Une partie forêt, et une partie jardin. La végétation ici n’a rien à voir avec la nôtre, déjà en raison du climat subtropical, mais aussi parce que presque tous les plants sont semi-persistants et cela même en hiver ! Bref c’est incroyable, chaque jour est une nouvelle aventure.Que ce soit la rencontre avec un kākāho (une race de perroquet vivant en forêt), ou encore avec Moko, le remu, arbre de 800 ans !Ce sont de belles rencontres.Ka kite ! (agréable journée en maori)" … See MoreSee Less
Ce dimanche 21 avril, Les Cahiers de l’École de Blois seront présents aux Journées des livres qui font paysage, à Fondettes (37). Olivier Gaudin, responsable éditorial, participera aux discussions et présentera la collection des Cahiers ainsi que le nouveau numéro, "Lignes de front", disponible en librairie à la fin mai. Merci à Xavier Guillon de nous donner l’occasion de cette présentation en avant-première !Découvrez la collection, et plusieurs extraits en accès libre, sur :www.cahiers-ecole-de-blois.fr… See MoreSee Less
Nous partageons le programme du prochain festival Polyculture, porté en partie par d’anciens élèves de l’école, à la Ferme de Vernand. … See MoreSee Less
Fin du séminaire d’acoustique : les élèves montrent leurs recherches sous forme d’expériences collectives, non pas tant comme une performance que comme une invitation à poursuivre la découverte du territoire infini du paysage sonore. … See MoreSee Less
Deuxième journée du séminaire d’acoustique et de représentation, au cours de laquelle les élèves de troisième année se sont installés dans le hall de l’école pour travailler sur des documents grands formats. … See MoreSee Less
Les élèves de troisième année sont en séminaire pour une exercice croisé entre les enseignements d’acoustique de Frédéric Fradet et de représentation de Claire Combeau. Les élèves commencent par des prises de notes sonores et graphiques afin de compiler le matériel qu’ils vont transformer, au sein d’un l’atelier installé de manière éphémère dans le hall de l’école. … See MoreSee Less
En partenariat avec Agglopolys Agglomération de Blois, avec l’opération "Regards sur le Val de Loire", les élèves de première année ont travaillé dans le cadre de leur enseignement "Expérimentations constructives et matérielles" avec Hector Moric, ainsi que les élèves de l’école Etic et les élèves de DN MADE du Lycée Camille Claudel. L’ensemble des installations a été inauguré vendredi 29 mars, en présence de Christophe Degruelle, président d’Agglopolys, Marc Gricourt, maire de Blois, Nicolas Orgelet, vice-président d’Agglopolys et Jane Dumont, chargée de mission paysage à Agglopolys. Les propositions doivent servir d’expérience pour envisager, par la suite, des installations plus pérennes. … See MoreSee Less
Entrevoir les paysages futurs exige de ressaisir les héritages hybrides et la mémoire involontaire qui marquent notre temps instable. Entre enquête, dessin et conception, le travail des paysagistes associe l’expérience corporelle à des relations culturelles sédimentées : il s’attache aux longues durées – vde l’anamnèse à l’anticipation. Avant toute projection, décrire la complexité des trajectoires et les signes du changement. Apprécier leur part d’incertitude, éprouver les affects et les émotions qu’ils procurent. Cet effort est nécessaire à l’imagination des gestes qui transformeront les lieux habités en quittant les impasses de l’idéologie productiviste. Dans ce volume, le passage du temps sur les paysages emprunte des voies multiples et inattendues, sans esquiver le risque de l’obsolescence et de la ruine. La pensée du projet s’empare d’infrastructures patinées et de milieux altérés par des gestes de maintenance ou de restauration : cette critique en acte de la persistance des logiques destructrices ouvre les perspectives d’un avenir désirable.